Ça fait exactement 1 an que j’ai commencé à traquer ce que je bouffe comme culture. Je voudrais faire un petit point sur le positif et le négatif de cette pratique.
Mes objectifs en 2018 étaient plus ou moins : 4/5 films par mois, 2 livres, 1 expo, 1 spectacle. Ce qui fait un total de 48/60 films, 24 livres, 12 expos, et 12 spectacles.
Tout d’abord, j’ai beaucoup plus vu, lu et toutes autres actions culturelles que l’année précédente. Les objectifs sont motivants. On a envie d’aller voir tant de films par mois, et on essaye de se donner les moyens d’y arriver.
Donc, les chiffres ! Je suis allées voir 60 films. J’ai lu 19 livres. Je suis allée voir 8 expositions. Et je suis allée voir 11 spectacles.
Je trouve que je suis bien allée au cinéma ! Voir cette grande liste de films me réjouit. L’année dernière, je voulais plus me cultiver, essayer d’aller minimum une fois par semaine au cinéma… Mon objectif est atteint ! Quand on fait une petite division, je vais au cinéma environ tous les 6 jours ! Je suis vraiment contente de moi.
Après niveau livres, expositions et spectacles, je n’ai pas du tout atteint mon objectif. Mais c’est pas grave, je ferai mieux l’année prochaine. Chaque art en son temps !
J’ai eu des coups de mou, et ça s’est directement répertorié sur ma pratique culturelle. Donc traquer ce qu’on bouffe culturellement, ça a le désavantage d’ajouter une couche de déprime parce qu’on a pas respecté son objectif.
Les maniaques comme moi doivent donc apprendre le lâcher prise.
Pour 2019, je voudrais donc être plus rigoureuse sur les lectures, le théâtre et les expositions. Je pense que je vais surtout essayer de plus lire. En octobre, je lisais dans les transports en commun, quand j’avais une pause et surtout, avant de m’endormir. Ce petit moment avant de dormir était vraiment très précieux. Je voudrais essayer de reprendre cette habitude de manière durable en 2019.
Niveau chiffre, je voudrais minimum : 4 films, 3 livres, 2 expos, 1 spectacle par mois. Ce qui fait donc 10 objects culturels par mois soit 120 pour l’année.
Dans la tête d'Alice 