Je voudrais me lancer un petit défit : regarder minimum un documentaire par semaine. Cette idée m’est venue grâce au blog Ça commence par moi. Ce blog nous donne des petites ou grandes actions écologiques. Le but de Julien Vidal, le créateur du blog, est d’arrêter l’écologie culpabilisante et faire de l’écologie accessible. C’est un très bon blog si vous êtes curieux.
Bref, j’aimerai donc regarder un documentaire et vous le partager pour que nous ayons tous ensemble une meilleure connaissance de notre monde, des cultures, pratiques et encore pleins d’autres domaines.
Bien sûr, le documentaire que je présenterai sera en lien avec mes centres d’intérêt. Mais n’hésitez pas à me partager des bons documentaires ! Le but est de créer une communauté de curieux et de partage. Ça vous dit ?
Pour le premier documentaire, je voudrais vous parler d’un documentaire qui parle de minimalisme (merci Changer le monde en 2 heures d’en avoir parlé, c’est tout juste ce qui me fallait).
Minimalism : A Documentary About the Important Things (2016), réalisé par Matt D’Avella

Je voudrais vous conseiller ce documentaire (que j’ai trouvé sur Netflix) pas seulement parce qu’il parle de minimalisme, mais aussi bien être et sa critique du monde capitaliste.
Tout d’abord, le minimalisme. Je me suis rendue compte durant mon visionnage que j’avais une mauvaise définition de ce mode de vie. Je pensais qu’il s’agissait de vivre avec le moins possible, mais c’est en fait vivre avec le mieux. Le minimalisme n’est pas une consommation restrictive écologique mais une pratique de bien-être. Après avoir vu le documentaire, je pense sérieusement faire un tri dans mes affaires, même si je suis une collectionneuse compulsive. Mais j’en reparlerai sûrement à mon retour en France, et donc mes affaires.
Ensuite, le bien-être. Ça a donc un lien évident avec le minimalisme mais je n’ai pas compris pourquoi à un moment, un présentateur télé a commencé à parler de méditation. Heureusement que ce sujet m’intéresse parce que ça tombait un peu comme un cheveux sur la soupe. Je trouve que le réalisateur parle trop de la sucess story des deux amis minimalistes et pas assez du bien-être que ça apporte. Ce n’est pas assez approfondie mais ça donne des pistes de réflexion.
Enfin, la critique du capitalisme. J’adore ce sujet ! Je vais essayer de regarder des documentaires pro-capitaliste pour essayer de comprendre mais je ne garantie rien sur ma critique à la fin du visionnage. Dans Minimalism, le réalisateur et ses interviewés parlent de comment la société de consommation et les entreprises capitalismes de l’occident nous a rendu malheureux en nous faisant croire que posséder = bonheur. On se rend compte au fur et à mesure que ce principe et complètement faux de manière très bien expliqué.
Ma scène préférée est quand un vieux monsieur explique qu’être minimaliste, c’est la façon la plus forte de détruire les entreprises géantes responsables de la destruction de la planète. Alors là, mini-Alice est tombée amoureuse.
Je recommanderai ce documentaire à tout le monde. Il ne plaira pas à tous mais ils seront plus informés après et c’est le plus important. Je ne trouve pas que l’histoire des deux amis en vaut particulièrement la chandelle mais elle a le mérite d’être claire et représentative.
La bande d’annonce :
Si vous voulez aussi découvrir ce qu’est le minimalisme, je vous invite à regarder la playlist à ce sujet de Pierre Chevelle aka Changer le monde en heures. (si vous avez déjà regardé le documentaire, vous pouvez sauter les 2 ou 3 premières vidéos).
[…] le bonheur. C’est ce que le mouvement minimalisme essaye de communiquer. Tu peux par exemple regarder le documentaire Minimalism, si ça […]
J’aimeJ’aime