Depuis quelques années, le cinéma prend une grande place dans mes activités et réflexions. C’est un art qui me stimule beaucoup intellectuellement. J’essaye de ne pas être fermée d’esprit et regarder le maximum de choses possible, dans la limite de ce que je supporte – c’est-à-dire pas de film d’horreur.
Il y a pas longtemps, je me suis demandée : « Si tu devais regarder plus qu’un seul film pour le reste de ta vie, lequel choisirais-tu ? »
J’ai longtemps hésité entre beaucoup de mes films favoris comme Pulp Fiction, In the Mood for Love, Vicky Christina Barcelona, la majorité des films de Miazaki et encore pleins d’autres. Mais tous ces films ne m’ont pas autant donné que le très connu dessin-animé Alice au Pays des Merveilles de Clyde Geronimi, Wilfred Jackson et Hamilton Luske, produit par Walt Disney sorti en 1951.
Vous vous doutez bien qu’avec mon prénom, on m’a offert beaucoup d’exemplaires du livre de Lewis Caroll et que l’on m’a rabâché cette histoire pendant toute mon enfance. À cause de ça, j’ai longtemps rejeté cette histoire. Mais à l’adolescence, j’ai relu le livre et revu le dessin-animé, et j’ai adoré.
Le dessin-animé de Walt Disney est devenu comme un doudou. Je le regardais tous les soirs pour m’endormir. Il m’apporte un réconfort que je peux chose arrive à me donner.
Je suis allée à Oxford il y a quelques années, c’était le paradis. Alice était omniprésente partout.
Aujourd’hui, ce n’est plus une obsession comme ça l’était avant mais ce dessin-animé et cette histoire reste très importante.
En revanche, le film de 2010 réalisé par Tim Burton n’est vraiment pas ma tasse de thé (c’est l’occasion de le dire héhé). De base, ce n’est pas mon réalisateur préféré mais je trouve que l’adapté en film est le gâché en quelque sorte.
Enfin bref, j’ai choisi ce dessin-animé pour le reste de ma vie parce que je m’en lasserai jamais.
Et vous, quel est votre film doudou ?
Dans la tête d'Alice 
[…] (1988) de Tim Burton. C’était donc la découverte d’un film de Tim Burton (j’ai déjà rapidement parlé de ce réalisateur à la fin de cet article), d’une séance de minuit et une mise en bouche de la fête du 31 […]
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