Bilan culturel de Septembre 2018 : documentaires et découvertes

Comme je viens d’arriver aux États-Unis, je ne me suis forcée à rien pour ce mois-ci. J’ai chiffré mon objectif culturel comme une semaine après mon arrivée. J’ai préféré attendre pour avoir le temps de savoir ce que je pouvais et surtout voulais faire, lire et voir. Mon défis était donc déguster : 3 livres, 3 films en salle, 2 expositions et 1 spectacle. Je ne me fixe jamais d’objectif pour les séries et la musique car je pense que je n’en ai pas besoin. Mais je vous ferai quand même une revue de ces deux arts à la fin de cet article.

Pour le mois de septembre 2018, voici ma page récapitulative :

Bouffer la culture de septembre 2018

Je n’ai pas très bien respecté mes objectifs. Tant pis ! Je ferai mieux la prochaine fois. J’aimerai le mois prochain voir plus de films en salle et trouver un spectacle à voir. Si je n’y suis pas allée ce mois-ci est parce que je n’ai pas pris le temps d’aller voir quelque chose que je pourrais facilement comprendre. La dernière pièce que j’ai vu en anglais était Richard III en anglais de l’époque en Grande-Bretagne. C’était très bien, enfin je crois, mais il reste le traumatisme de ne rien comprendre.

3 LIVRES :

Qui a tué mon père (2018), écrit par Édouard Louis

Qui a tué mon père (2018) Édouard Louis

J’avais déjà commencé ce petit livre en août en Bourgogne, mais le continuer à l’autre bout du monde l’a rendu encore meilleur. Ce livre politique et autobiographique m’a beaucoup plus, même si j’ai préféré En finir avec Eddy Bellegueule. Le style est très facile à lire, peut-être pour rendre accessible le discours politique.

C’est une critique très ouverte des trois ou quatre derniers gouvernements. L’auteur veut montrer les actions anti-sociales qu’on fait ces gouvernements (même le gouvernement socialiste de François Hollande) et ça fait du bien. Je ne sais pas si je le conseillerais à mes grands-parents de droite mais à tous.tes mes cousins.es et amis.es d’extrême-gauche, c’est sûr.

Ce livre n’est pas rafraichissant mais motivant à s’engager, quelque soit le bord politique.

L’Amie prodigieuse (2014), écrit par Elena Ferrante

L’amie prodigieuse (2014) Elena Ferrante

J’ai eu plus de mal à lire ce livre, probablement parce que les romans ne sont pas mes lectures favorites. Cependant le livre demeure bien écrit et intéressant. Je ne pense pas lire la suite de cette saga car je ne me suis pas réellement attachée aux personnages et à l’histoire.

Mais si vous aimez les histoires bien écrites sur des enfance et adolescences difficiles et avec une critique de l’Italie pauvre du XXème siècle, ce livre est fait pour vous.

Le Vicomte Pourfendu (1952), écrit par Italo Calvino

Le vicomte pourfendu (1952) Italo Calvino

Je devais lire cette trilogie, Nos Ancêtres, en classe philosophie en Terminale Littéraire. Je n’avais pas l’envie et la motivation à cette époque. Depuis que j’ai commencé mes études de communication, les enseignements plus classiques et scolaires comme la philosophie, l’histoire et la littérature me manquent. Alors j’essaye de me faire mes propres cours.

Pour me remettre aux lectures philosophiques, pourquoi pas un roman philosophique Italien du XXème siècle ? Effectivement, c’était un excellent choix. Ce sont des thématiques faciles pour une reprise : l’existence, la  nature, la société…

Tous ces thèmes sont abordés avec humour et subtilement. Sans compter que le style de l’auteur est simple, clair et très agréable à lire. Je pense avoir repéré des références aux prochains romans. J’ai hâte de les lire.

3 FILMS :

Whitney (2018), réalisé par Kevin MacDonald

WHITNEY (2018) Kevin Macdonald

C’est le premier film que j’ai vu en salle à San Francisco. Je suis allée dans le cinéma historique de la ville situé au cœur du quartier homosexuel : The Castro Theatre. C’était un cadre fascinant pour une première expérience avec une toile aux États-Unis : un orgue, une salle capable d’accueillir autant de personne que le Max Linder, une bonne odeur de popcorn (même si je n’aime pas ça, là c’était plutôt agréable), et surtout mon rêve ultime : très peu de personnes dans la salle.

Mais la salle n’a pas fait le film. Le début était pas mal avec l’histoire de la famille de Whitney Huston, ses débuts colorés en tant que chanteuse… Mais au bout de quelques dizaines de minute, je dois admettre que j’ai commencé à vraiment m’ennuyer. Je n’ai pas vraiment touché par l’histoire de cette femme, sûrement parce que je n’ai pas été une fan de la musique et la chanteuse surtout.

La seule scène que j’ai vraiment aimé est celle où l’on voit le clip de I wanna dance with somebody en flash avec en parallèle qui elle était, soit une scène de deux minutes. Sinon, bon, c’était un peu larmoyant et pas vraiment très drôle.

Yellow Submarine (1968), dessin-animé  George Dunning

Yellow Submarine (1968) George Dunning

Je pense avoir été bercée aux Beatles quand j’étais petite, mais je n’avais pas vu le fameux dessin-animé. Ma sœur m’a dit qu’elle le trouvait un peu étrange. Mais ça n’a pas été une barrière à mon envie de le voir au Castro Theatre.

J’ai été très étonnée de voir beaucoup d’enfants dans la salle, et surtout des très jeunes. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre de ce dessin-animé. Résultat des course, j’ai beaucoup apprécié. Effectivement, c’est un film qui peut être jeune public mais il peut aussi très bien convenir pour les adultes admirateurs du groupe mythique de rock’n’roll.

Les dessins sont très minimalistes. Mon comparatif était The Wall (1982) réalisé par Alan Parker, alors j’avais attente comparable à ce que j’ai vu dans le dessin-animé des Pink Floyd. Je me suis complètement fourrée le doigt dans l’œil : ces oeuvres sont presque des opposés par leur sujet, dessin ou encore musique.

La séance était en quelques sortes interactive. Nous avions une couronne, un petit néon et un pétard à confettis. Peut-être par timidité je ne les ai pas utilisés. Mais je me suis prise au jeu de chanter les chansons en cœur. Je ne pense pas que j’aurai autant aimé ce film si je ne l’avais pas vu dans cette salle et avec ces « ornements ».

Mademoiselle C (2013), réalisé par Fabien Constant

Mademoiselle C (2013) Fabien Constant

Je me sens obligée de justifier ce choix de film tellement c’était mauvais. Je suis allée voir ce documentaire sur la mode et particulièrement Carine Roitfeld car il était projeté à l’Alliance Française de San Francisco. Je trouvais qu’un documentaire sur la mode n’était pas une mauvaise idée et l’Alliance est toujours un lieu de rencontre.

Mais mon dieu que ce documentaire était mauvais ! Ce petit film de 1h30 m’a paru comme 3h (alors que la longueur d’un film ne me dérange pas généralement). Je pensais pendant les 10 premières minutes que ça allait être une critique du milieu de la mode, mais en fait pas du tout c’est une éloge.

J’ai été profondément choquée par des phrases comme « La mode, c’est un déguisement. Tous les jours, je décide qui je veux être en fonction de mes vêtements. » Je m’intéresse un peu au développement personnel et c’est exactement l’opposé de l’acceptation de soi.

En revanche, j’ai été beaucoup amusée par l’idée de faire de la danse classique le matin comme alternative au yoga. Je pensais que c’était une bonne idée jusqu’à ce que Carine Roitfeld dise que c’est une forme pour maîtriser la douleur et l’apprentissage de ne pas montrer qu’on a mal. Encore une fois, j’ai déjà vu un discours plus positif.

Tout ça pour dire que je trouve que ce film est plus proche d’une télé-réalité sur un milieu que je trouve très malsain, plutôt que d’un documentaire.

1 EXPOSITION :

Truth and Beauty au musée de la Légion d’honneur

Robins of Modern Times (1860) John Roddam Spencer Stanhope

Je suis allée voir cette exposition par hasard grâce à une amie de mes parents avec qui je passais la journée. Cette amie est une grande mangeuse d’art, et nous étions accompagnées d’une amie peintre, Irene Belknap.

Cette exposition est sur l’art préraphaélite du XIVème et XIXème siècle, en Italie, en Angleterre et un petit peu au Pays-Bas. Je ne connaissais que très peu ce courant. Je crois que nous en avions très rapidement évoqué en Histoire de l’Art, mais pas assez pour que je me souvienne des grands noms.

Je vais plus généralement voir des expositions dédiés à l’art moderne, contemporain et des performances. Mais cette exposition m’a réconcilié avec l’art d’avant le XIXème siècle.

Les couleurs et les détails des peintures étaient fascinants. Il y avait bien sûr un peu trop de petit Jésus et Vierge Marie à mon goût, mais ça ne m’a pas empêché d’être fascinée par quelques toiles. Je me souviens d’éblouissant bleu de certaines robes, ou de mouvements très gracieux.

Je suis ravie d’être allée voir cette exposition. Je pense essayer de redécouvrir certains courants artistiques. Peut-être retourner dans certains musées à Paris.

SÉRIES

This is us – saison 1 et 2 (2016 -), réalisée par Dan Fogelman

This is us (2016-) Dan Fogelman

J’ai commencé à regarder cette série dans l’avion en venant aux États-Unis. Le choix sur les mini-télévisions ne me plaisait pas temps que ça. Alors j’ai regardé This is us que j’avais sur mon disque dur depuis longtemps. J’en avais entendu beaucoup de bien et un grand nombre de mes amis.es série-file regardent également.

J’ai été vraiment charmée par l’histoire de cette grande famille. Même si cette série parle d’un sujet ultra-vu et revu, c’est-à-dire la famille, l’équipe de la série le fait avec beaucoup de tendresse et bienveillance. Les personnages sont très attachants (surtout mon préféré Randall) et leurs situations, même si encore très communes pour une série dans le genre, sont très bien mises en scène et très bien jouées.

Comme je viens de le dire, le personnage de Randall est mon préféré. Je pense que je trouve que son histoire est plus attachante – il est l’enfant adopté de la famille. Un sujet comme les différences d’amour entre les enfants est abordé, et c’est particulièrement intéressant dans le cas de cette fratrie où l’un des enfants est adopté.

En revanche, Le message pro-réussite à l’états-unienne m’a dérangé. Le travail, pour gagner de l’argent et ensuite avoir une grande maison et une belle voiture, n’est pas vraiment ma philosophie du travail. Les familles sont très clichés, donc avec des valeurs comme family first, et ce n’est pas dans mes standards. Mais bon, ça n’enlève rien du feel good de la série.

La saison 3 commence tout juste à être diffusée sur NBC tous les mardis depuis 25 septembre et j’ai déjà commencé à la regarder.

Atypical – saison 2 (2017 -), réalisée par Robia Rashid

Atypical (2017-) Robia Rashid

Je n’avais pas été transportée par la saison 1 l’année dernière. La série est pleine de bonne volonté et le sujet traité est intéressant mais il manquait quelque chose.

Pour cette saison 2, je l’ai regardé sous un autre angle. Je n’essaye plus de comprendre le message que fait passer le jeune homme autiste mais celui de la sœur. Effectivement, j’ai trouvé ce personnage beaucoup plus intéressant et attachant. Sam, le garçon autiste, est bien sûr très attachant avec ses histoires de petites amies mais la sœur, Cassey, m’a finalement plus intéressée.

Je trouve toujours que la série n’est pas fracassante. Cependant, je la préfère depuis la saison 2.

Bojack Horsman – saison 5 (2014 -), dessin-animé de Raphael Bob-Waksberg

Bojack Horsman (2014-) Raphael Bob-Waksberg

Je me souviens avoir été un peu déçue par la saison 4. Alors, je suis partie de principe que c’était peut-être la dernière saison que je regarderais de cette série.

En regardant sans vraiment énormément d’attente, j’ai trouvé que le début était trop lent et l’histoire « d’amour » entre le personnage principal et l’actrice du film dans lequel joue BoJack n’était pas très intéressante.

En revanche, l’addiction aux médicaments, tout d’abord complètement bateau donne pour moi le meilleur épisode de la série, l’épisode 11 si je ne dis pas de bêtise. Cette épisode complètement surréaliste sur le dédoublement avec le problème acteur/ personnage a été magnifiquement bien fait techniquement.

Finalement je change d’avis, je regarderai la prochaine saison.

You (2018 -), réalisée par Sera Gamble et Greg Berlanti

You (2018) Serge Gamble et Greg Berlanti

Celle-ci, je dois admettre qu’elle ne m’a pas l’air franchement génial. C’est une série qui vient de commencer à être diffusée sur Lifetime le 9 septembre. Les acteurs sont assez révélateurs du public visé, puisqu’il y a  l’acteur phare de la série Gossip Girl, Joe Badgley aka Dan ou Daniel Humphrey, et autre une des têtes d’affiche est Shay Mitchell aka Emily Fields dans Pretty Little Liars. Effectivement, même si je n’en suis qu’aux premiers épisodes, je pense que cette série est faite pour récupérer le même public que ces deux séries, et donc que ça ne va pas être génial.

Alors pourquoi je regarde ? Je ne sais pas vraiment, sûrement parce que c’est une série qui fait très dimanche soir et que ça me distrait. J’aimerai aussi voir quelle image la série va donner de la femme et de la maladie mentale du personnage principal.

Enfin bon, je ferai mieux de regarder la série qui a commencé le même jour, Kidding avec Jim Carrey.

50 nuances de grecs (2018 -), dessin animé de Charles Pépin et Jul

50 nuances de grecs (2018-) Charles Pépin et Jul

Je suis tombée complètement par hasard sur le première épisode de 50 nuances de Grecs sur Facebook et depuis je ne décroche plus. Cette série dont les épisodes font 3 ou 4 minutes produite par Arte a un humour absolument fantasque, macabre et décalé. J’adore.

Il n’y a pas de synopsis. Ce sont des tous petits épisodes humoristiques sur la Grèce Antique avec des dieux, demi-dieux et mortels. Ils rigolent d’affaires politiques et problèmes contemporains en détournant les personnages mythiques de cette époque. Donc en Narcisse like ses propres photos sur Facebook et Instagram et se noie en voulant prendre un selfie au dessus d’une rivière. Je voudrais vous parler de tous les épisodes qui m’ont fait le plus rire mais je vous laisse découvrir par vous même.

Jul (bien sûr que ce n’est pas le chanteur) est celui qui a fait la série du même genre Silex and the city et j’ai vraiment hâte de la découvrir.

Safe (2018), réalisée par Harlan Coben

Safe (2018) Harlan Coben

Je voulais surtout regarder cette série pour Michael C. Hall, que je n’ai pas vu depuis la série Dexter (2006 – 2013), réalisée par James Manos Jr. Je me suis jetée dedans sans connaître le scénario et des mois après qu’elle soit sortie, alors je ne souvenais plus des critiques. J’ai regardé cette mini-série presque comme vierge (même je me souvenais très vaguement qu’elle n’avait pas beaucoup plu à la presse).

Et bien, j’ai été emportée par la série et je l’ai finie en même pas deux soirées. J’aime toujours autant Michael C. Hall et Audrey Fleurot. Je ne m’attendais pas du tout à qui était le.la tueur.euse (orthographe inclusive par soucis de spoileur), et j’ai été très agréablement surprise. Il faudrait que je demande à mes amis.es sériefile ce qu’iels en pensent.

Maniac (2018), réalisée par Patrick Somerville et Cary Joji Fukunaga

Maniac (2018) Patrick Somerville et Cary Joji Fukunaga

J’attendais avec hâte la sortie de cette série Netflix. Déjà parce que j’apprécie l’actrice Emma Stone, et ensuite parce que je trouvais que le synopsis me plaisait (étrangement d’ailleurs parce que la science-fiction n’est pas quelque chose qui m’attire). Je croyais ne pas connaître l’acteur principal, Jonah Hill mais c’est juste que je ne l’ai pas reconnu.

Selon moi, Maniac n’est pas une série incroyable. Je m’attendais beaucoup trop à la fin et je n’ai pas été surprise à aucun moment. Certes c’est bien joué, la photographie est très belle et les acteurs sont bons, mais sans un bon scénario… ça ne marche pas.

J’ai bien aimé à la rigueur l’histoire de double-mère car c’était plutôt innovant. Enfin, je crois. Cette deuxième mère m’a beaucoup rappelé mes cours de spécialité anglais de terminale littéraire sur les sentiments et les technologies. Je ne veux pas vous refaire le cours que j’ai eu sur la technologie mais ce que ça nous apprenait était sommairement que si les machines savaient comment se reproduire et avaient des sentiments, la technologie serait supérieure à l’Homme. Ce sujet important, mais pas principal, m’a beaucoup intéressé et rappeler des souvenirs.

MUSIQUE

Souldier (2018), composé par Jain

Souldier (2018) Jain

J’avais adoré le premier album de Jain, Zanaka, alors peut-être que mes attentes étaient trop hautes pour cet album. Je ne sais pas. Enfin, j’ai été franchement déçue. Je n’ai pas trouvé les chansons très entrainantes, pas très belles. Je ne sais pas trop quoi dire qu’autre car ce n’était pas non plus horrible, loin de là, mais j’ai pas beaucoup aimé.

Chris (2018), composé par Christine and the Queens

Chris (2018) Christine and the Queens

Je crois que j’ai écouté cet album uniquement parce que j’aime la démarche du « Chris » de la chanteuse du groupe. Je vois depuis quelque mois la chanteuse se faire appeler Chris, se couper les cheveux, etc. Et je pense que je me suis dit : « tiens, il faut la soutenir. C’est important pour la musique de la pop culture ». Sauf que j’avais oublié à quel point je ne suis pas fan de ce groupe. Je n’avais déjà pas aimé son premier album… Qu’est-ce que je peux conclure de cette revue, il faut suivre les artistes pour leur art et non leur choix politique ?

Spotify Singles (2018), composé par Artic Monkeys

Spotify Singles (2018) Artic Monkeys

Quand j’ai vu qu’un petit EP de deux morceaux était sorti sur Spotify, je me suis jetée dessus. Si je comprends bien, c’est le même morceau coupé en deux. Mais en même temps, ça me semble bizarre.

Dans tous les cas, j’ai trouvé la première partie plutôt banale et la deuxième géniale ! Je trouve qu’il y a une influence un peu 70’s par la voix solo et le synthé, bien sûr, très 80’s. Cependant, la chanson reste très actuelle.

Cette deuxième partie me fait beaucoup penser à un retour en voiture de grandes vacances sur une autoroute interminable. C’est sûrement parce que j’ai des souvenirs positifs associés, mais j’adore cette pensée.

Reduxer (2018), composé par alt-J

Reduxer (2018) alt-J

Cet album d’alt-J est très différent du dernier que j’avais écouté, An Awesome Wave (2012). Je trouve qu’alt-J a suivi la tendance musical du moment avec un esprit un peu rap, mais de la bonne manière, tout en puisant dans la musique r&b des années 90.

L’album n’est composé presque que de collaboration plus ou moins réussi. Par exemple, la première avec Little Smiz, 3WW, rentre dans le vintage dont je parlais des années 90 et c’est une vraie réussite. On retrouve des airs de Missy Elliot.

C’est un album que j’ai énormément de mal à expliquer. Probablement à cause de sa diversité de genres et que cet album est vraiment différent de ce que je connaissais de cet artiste.

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